Quel scandale cet article!

Vous n’allez pas en croire vos yeux. Vous ne pouvez imaginer à quel point il est facile de tomber dans un piège.

 

 

Et même si on est prévenu, même si on est méfiant de nature, on est faillible…

 

La preuve… vous êtes là !

 

Oui vous êtes là à lire cet article parce que vous avez mordu à l’hameçon. Trop tard, vous êtes accroché…

 

Vous allez bientôt avoir la même sensation étrange que le petit poisson qui naviguait tranquillement au fond de l’eau (vous, c’était sur le Web…) et qui tout à coup a aperçu un petit ver particulièrement intéressant… (le titre de mon article ? La photo ?). Et pour comble de chance, le ver ne bouge pas, il ne s’enfuit pas, il semble servi sur un plateau. Alors sans réfléchir, le poisson se jette sur le petit ver… (Et vous, vous avez fait pareil…).

Mais là… une étrange sensation envahit le malheureux poisson (vous aussi, vous vous demandez où je veux en venir…), il sent tout d’abord une petite chose désagréable qui pique sa mâchoire supérieure… Et puis, sans trop comprendre pourquoi, il se sent monter progressivement vers la surface de l’eau, sans avoir besoin d’utiliser ses nageoires…

 

Vous avez lu le titre de cet article, vous avez vu la photo et vous avez failli. Pourquoi l’avoir ouvert, pourquoi avoir voulu savoir ?

Le seul mot susceptible d’avoir attiré votre regard, c’est le mot « scandale ». On a beau s’en défendre (quoique certains assument…) nous sommes souvent attirés par tout ce qu’évoque ce terme de scandale… Il résonne en nous comme un fait exceptionnel, extraordinaire qui n’est pas passé inaperçu par ce qu’il a provoqué une vive réaction autour de lui.

 

Scandale !

Comment Larousse définit-il ce terme ? 

« Effet fâcheux, indignation produits dans l’opinion publique par un fait, un acte estimé contraire à la morale, aux usages ».

 

Ce goût, cette attirance pour le scandale ne sont pas nouveaux. Alors que la Presse voit tout juste le jour, au début du XVIIe siècle, on trouve déjà dans les Gazettes, des histoires anecdotiques où se côtoient les ingrédients qui, des siècles après, feront encore recette : sexe, mensonges, trahisons…

Déjà, à l’époque, ces histoires font vendre… A partir de 1950, la Presse People commence également à faire des adeptes.

Comme si, depuis toujours, les hommes (et les femmes !) sont irrémédiablement attirés par le sordide, maladivement atteints de voyeurisme.

 

La photo aussi vous a intrigué, attiré, questionné… Et vous avez voulu en savoir plus… En voir plus, peut-être ?

Curiosité, quand tu nous tiens !

 

Vous savez ce qu’on dit de la Presse « à scandale » ?

Tout le monde se défend de la lire et au final tout le monde la lit !

 

Bon, je sais, vous vous demandez toujours où je veux en venir… Patience. Ça vient !

Vous savez (peut-être) que je suis expert en communication interpersonnelle. Dans mon métier de coach, comme dans mon métier de formateur, je suis souvent face à des professionnels qui aimeraient avoir plus d’impact, plus de charisme, réclamant sans cesse des trucs ou ficelles pour captiver davantage leur auditoire lorsqu’ils s’expriment. Ils ont parfois le sentiment que leurs prises de parole sont ternes et souvent guère à la hauteur de leurs attentes.

Cela tient à un certain nombre de facteurs. Ils sont tellement préoccupés par le contenu de leur discours, tellement soucieux de la transmission de leurs messages, qu’ils en oublient l’essentiel : leur auditoire. Or, il est très rare qu’on ne parle que pour soi ! Erreur classique et récurrente que cette obsession du message qui en fait oublier à qui il est adressé !

 

En revanche, ceux qui ne tombent pas dans ce travers n’ont pas pour autant l’art d’interpeller leur public et de le mobiliser lors de leurs interventions en public !

 

Dans un certain nombre de cas, c’est un élément fondamental de la communication oral qui est en cause, un élément fabuleux quand on sait bien s‘en servir : la voix. Et la voix, c’est plus complexe qu’il y paraît. La voix, ce n’est pas seulement ce qu’on entend. Il y a le débit, autrement dit la vitesse à laquelle on parle. Très souvent, le débit est trop élevé. Un débit élevé, dicté parfois par le stress et même, pour certains, par la volonté d’en finir, entraine une seconde conséquence fâcheuse : un défaut d’articulation. Ce défaut d’articulation contraint l’auditoire à un effort particulier et a tendance à éroder l’écoute. Le volume fait également partie des failles rencontrées avec des individus qui ne savent pas trouver le bon niveau d’intensité adapté au lieu et au nombre de personnes.

Enfin, la monotonie de l’intonation vient définitivement achever de détourner l’attention du public, même si le dit public était au préalable intéressé par le sujet.

 

Vous commencez à entrevoir le lien ?

Comment captiver ses interlocuteurs ?

Le poids des mots, le choc (positif) de l’impact relationnel…

Dans un article, sur un journal, c’est souvent le titre savamment réfléchi et l’image judicieusement choisie qui vont susciter l’envie chez le lecteur. Rien ne dit que la lecture sera à la hauteur de l’accroche ! Mais l’important, c’est déjà de ferrer le public !

 

A l’oral, face à ses interlocuteurs, l’enjeu est un peu différent.

Comment trouver, par la forme et par le fond, les moyens d’intéresser, d’attirer l’attention des autres et surtout de la maintenir sur la durée ?

 

Voilà tout simplement la question que se posent toutes celles et tous ceux (et ils/elles ne manquent pas !) qui sont amené(e)s à prendre la parole dans leur quotidien professionnel (devant 1, 10, 100 ou 1000 personnes) et qui déplorent trop souvent de ne pas être aussi percutants qu’il le faudrait !

 

Chacun sait pourtant que l’aisance à l’oral, le charisme qu’on dégage et la confiance en soi qui y est assortie font depuis longtemps partie des principaux critères dans l’évolution professionnelle des personnes.

Comment marquer ces points qui permettent de sortir du lot en matière de communication interpersonnelle ?

 

Parfois, ce sont des techniques simples qui permettent d’y arriver !

Ah bon ? Lesquelles ?

 

Rencontrons-nous, vous le saurez…

 

Je sais… le titre était accrocheur et la conclusion frustrante !

Et si c’était ça, la recette pour donner envie… Envie d’aller plus loin… ?

 

Il ne me reste plus qu’à le vérifier, grâce au message que vous allez m’adresser !

 

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